JEAN-BERNARD POUY : LE POLAR EST SA COULEUR Auteur d'une centaine de polars, militant de la littérature populaire, dénicheur de talents, créateur du Poulpe, Jean-Bernard Pouy est une figure centrale du roman noir français. A l'occasion des 70 ans de la Série noire, un recueil de cinq de ses romans paraît sous la couverture de la célèbre collection. Interview.
ANDRE LAUDE PAR BERNARD MORLINO "Comme tous les vrais poètes, André Laude (1936-1995) n'était pas comestible. Il a refusé le jeu des médias. Ce fut un anti BHL par excellence. Il voulait s'effacer un maximum pour ne laisser place qu'à son oeuvre." (Lire la suite).
LA POESIE REBELLE PAR STEPHANE VALLET La publication de l'œuvre poétique d'André Laude est un évènement. L'occasion de rendre hommage à ce poète inquiet et rebelle. Interview.
HOMMAGE A ALBERT COSSERY (1913-2008)
LA DISPARITION DU PRINCE DE LA DÉRISION Albert Cossery s'est éteint à 94 ans, au matin du 22 juin, dans sa chambre de l'hôtel "La Louisiane" où il vivait depuis plus de soixante ans.
JULIETTE BINOCHE : L'INTERVIEW
JULIETTE BINOCHE ENTRE DEUX VAGUES Juliette Binoche ne ressemble pas à Juliette Binoche. Peut-être parce que les actrices n'existent que dans les songes qu'elles nous inspirent.
ALAIN CUNY : L'INTERVIEW INEDIT
LES SILENCES D'UN GEANT Alain Cuny (1908-1994) traverse le siècle dernier avec des ailes de géant. Il est au théâtre ce que Beckett est à la littérature.
HOMMAGE A GRISELIDIS REAL (1929-2005)
LE CHANT DU CYGNE Jusqu'au bout, Griselidis Real a écrit. Voici, en exlusivité, l'un de ses derniers poèmes. Indédit.
RETOUR SUR CAUBERE
GENESE D'UN SPECTACLE Philippe Caubère boucle son autobiographie théâtrale (1981-2005). L'occasion de revenir sur la genèse d'un spectacle.
Exploser.
Je ne cherche pas mon "quart d'heure de notoriété", encore moins d'une "notoriété vide."
Je fais cela pour survivre, au propre, comme au figuré, et je sais de quoi je parle.
Aujourd'hui, on expose n'importe qui !
N'importe quoi !
Il suffit de dents qui raclent le sol, d'un égo hypertrophié, de jeux de connivences, de compromissions, et de fric.
Ce n'est plus de l'art, mais du markéting.
Quand aux "morceaux", je m'en charge !
Mêlez-vous de ce/ceux qui vous regarde(nt).
Vous me tutoyez, mais nous n'avons pas, je crois, l'honneur de nous connaitre.
Vous n'existez pas.
Juste quelqu'un qui se cache, derrière un prénom, et une identité inventée de toutes pièces...
Moi, je ne vous connais pas. Il n'y a pas de jeu, et les règles sont faussées.
Vous avancez comme le concombre.
Masqué(e).
Et je suis à découvert, si j'ose dire.
Parano?
"Même les paranos ont des ennemi(e)" écrivait Roland Topor ; et j'assume mon côté méchanceté. Sinon, il n'y a pas de création, ni de rédemption possible, possible.
"Le talent, c'est la méchanceté!", faisait dire Balzac à l'un de ses personnages dans "Les illusions perdues".
(Et pourquoi "Malgré toi.", puisqu'on ne se connait pas.
Énigmatique.
Allez droit au but, K.
Assumer votre "moi virtuel".
Pas si difficile, après tout.
Vous avez du caractère, mais peu de personnalité, et vous semblez toujours fuir quelque chose)
Il faut exposer !!!
Rédigé par : kristophe | 04/05/2009 à 22:56
Exposer en vol ; exploser, envol!
Rédigé par : bob | 09/05/2009 à 16:44
Envol d'une robe rouge, longue cuissarde noire.
Pont des Arts, RDV virtuel. Elle arrive, je ne la connais pas.
Rouge est mon sang qui bat dans ton coeur, femme à la robe sanguine.
Superbe encore et toujours.
Il faut exploser d'abord, exposer ensuite et demander aux Dames de recoller les morceaux...
Rédigé par : kristophe | 15/05/2009 à 12:37
Exploser.
Je ne cherche pas mon "quart d'heure de notoriété", encore moins d'une "notoriété vide."
Je fais cela pour survivre, au propre, comme au figuré, et je sais de quoi je parle.
Aujourd'hui, on expose n'importe qui !
N'importe quoi !
Il suffit de dents qui raclent le sol, d'un égo hypertrophié, de jeux de connivences, de compromissions, et de fric.
Ce n'est plus de l'art, mais du markéting.
Rédigé par : bob | 15/05/2009 à 16:20
Quand aux "morceaux", je m'en charge !
Mêlez-vous de ce/ceux qui vous regarde(nt).
Vous me tutoyez, mais nous n'avons pas, je crois, l'honneur de nous connaitre.
Vous n'existez pas.
Juste quelqu'un qui se cache, derrière un prénom, et une identité inventée de toutes pièces...
Rédigé par : bob | 15/05/2009 à 16:34
Lorsqu'on se montre, on est vu. C'est le jeu.
Trop facile de ne plus en accepter les règles.
Je te tutoie car je te connais. Je te connais car tu te montres. Tu te montres car...
Je porte le masque. Oui. pas toujours. Mais cela me plaît comme cela. La liberté est mienne.
Mais un peu décu quand même de ton côté parano, méchant, aigri. Mais bon, on fait avec. J'aime toujours ce que tu fais. Malgré toi.
Rédigé par : kristophe | 18/05/2009 à 00:56
Moi, je ne vous connais pas. Il n'y a pas de jeu, et les règles sont faussées.
Vous avancez comme le concombre.
Masqué(e).
Et je suis à découvert, si j'ose dire.
Parano?
"Même les paranos ont des ennemi(e)" écrivait Roland Topor ; et j'assume mon côté méchanceté. Sinon, il n'y a pas de création, ni de rédemption possible, possible.
"Le talent, c'est la méchanceté!", faisait dire Balzac à l'un de ses personnages dans "Les illusions perdues".
(Et pourquoi "Malgré toi.", puisqu'on ne se connait pas.
Énigmatique.
Allez droit au but, K.
Assumer votre "moi virtuel".
Pas si difficile, après tout.
Vous avez du caractère, mais peu de personnalité, et vous semblez toujours fuir quelque chose)
Rédigé par : bob | 18/05/2009 à 03:00
Bien sûr K. "la liberté est votre", fort heureusement.
Vous êtes aussi libre de ne pas visiter ce bloggy, Mary!, euh, Kristophe....
Rédigé par : bob | 18/05/2009 à 08:19