Je venais parfois, poussière du soir, bars aux néons troubles. Recherche d'un cadavre. Traces de poudre, gestes trop nerveux, manteau usé. Et tous ses masques. La nuit un carnaval, regards flous et fardés, visages jaunâtres. Faire semblant, pour détruire, canapés où corps s'agitent. Les hommes titubent jusqu'aux toilettes pour dames. Je voudrais sortir un flingue, en finir avec balle dans tête.
S.V.
je suis happée par ce texte comme une gifle
Rédigé par : LSARAH | 12/02/2009 à 19:05
Je suis happée par ce texte comme une gifle...en plein coeur
Rédigé par : LSARAH | 12/02/2009 à 19:08