LE GRAND DUEL
Nicolas premier (31, 1%), Ségolène deuxième (25,8%). L'ancien numéro 2 du gouvernement aborde ce deuxième tour en position de force. La gauche a balayé l'affront du 21 avril 2002, mais elle est historiquement faible. La grande drague de l'électorat centriste a déjà commencé. Ségolène, tout comme Nicolas, ont besoin des voix de François, l'extrême centriste, dont la stratégie patine un peu. Etre ni de droite, ni de gauche, ça s'appelle avoir le cul entre deux chaises. C'est très inconfortable.
S.V.
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