NOTE EXPRESSE
Je ne suis pas un ventilateur, mon circuit est débranché, j'observe les averses dans le ciel sans nuage, prêt pour un grand plongeon. Un soir, il y aura un orage. Je sens déjà le tonnerre, et les éclairs dans tes yeux délavés. Je sens la tension électrique de ta peau, ta sueur sous ma langue rapeuse, et les soubresauts de ton corps. L'orage est à l'intérieur de nous. Il ne demande qu'à s'émouvoir. J'ai perdu le fil de nos mots, et de notre histoire, comme si les regards suffisaient. Je te regarde t'éloigner. Tu ne te retournes pas.
S.V.
Je crois que moi je me serais retourné... D'ailleurs je me retourne déjà en partant pour Florence quelques jours.
Rédigé par : Lessa | 12/06/2006 à 11:32
Attends-moi et regardes-moi revenir (^-~)
Bisous pré-florentins
Rédigé par : Lessa | 12/06/2006 à 13:05
A lundi alors!
Rédigé par : Lessa | 12/06/2006 à 14:36
je ne résiste pas au désir de vous dire le plaisir que j'ai de ces textes courts,plein de sensualité, delangueur, et d'une tristesse non pas triste ni inquiéte, mais orageuse, violente, poétique.
amicalement, elisabeth.
Rédigé par : elisabetha | 15/06/2006 à 22:46