LE VENT SE RENSEIGNE
Il faut bien commencer par la nuit. Les rêves sombrent toujours. La nuit se consume en angle mort. Le vent se renseigne. Parfois, on saigne. C'est la vie, qu'on dit. Je vois un dirigeable dans le ciel étoilé. J'étais barbouillé . Je tenais à peine sur mes jambes. Onduleuses sensations. La fille en rouge dansait à l'autre bout de la piste aux étoiles. Elle avait ôté son chapeau.
S.V.
C'est un beau titre, Bob.
Rédigé par : md | 21/09/2007 à 14:01