FRANCOIS LA FRONDE
En votant, sur fonds d'Affaire Clearstream, la motion de censure déposée par le parti socialiste, François B. se place pour un temps au centre de la vie politique, et lance sa campagne. Peu suivi par ses troupes (seuls 11 élus centristes sur 30 ont voté la censure), celui qui se surnomme "le rebelle", nous fait le coup du destin national. Le Jobert du 21eme siècle, se voudrait ailleurs, incarnant, à l'instar de Nicolas, la rupture. Mais François la fronde roule surtout pour lui même, nous refaisant le coup de Giscard qui voulait réunir 2 français sur 3. Avec un certain panache, il donne des coups d'épée dans l'eau.
S.V.
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