UNE JOURNEE EN AUTOMNE
Des hélicoptères tournoient dans le ciel de Paris. Je vais prendre un café en terrasse : sur la table, ronde et transparente, une publicité pour l'Armée de terre, avec des types en action. J'allume la télévision : des commandos héliportés du GIGN prennent d'assaut un navire de la SNCM détourné par des marins de cette compagnie en grève depuis l'annonce de sa privatisation (et de 400 supressions d'emplois). Et les images spectaculaires, diffusées en boucle, sur les chaînes d'information permanente, ressemblent à un clip publicitaire. Les marins grévistes sont menottés et mis au secret dans l'un des salons du bateau (attendu dans la soirée dans le port militaire de Toulon). Un conflit social "réglé" par les militaires. Sans doute une façon de "resserer les liens avec l'armée", dont c'était l'objectif, ce week-end, lors des 2e "Rencontres nation défense".
S.V.
salut bob. voilà un commentaire qui n'en est pas. je suis simplement contente de voir ton nom réapparaitre, comme j'ai un faible pour le sommet des vagues. aujourd'hui j'ai éteint les feux, mes spectateurs étan t aux mots absents. je te fais un grand salut d'artiste. elisabeth.
Rédigé par : elisabetha | 28/09/2005 à 21:37
salut bob. voilà un commentaire qui n'en est pas. je suis simplement contente de voir ton nom réapparaitre, comme j'ai un faible pour le sommet des vagues. aujourd'hui j'ai éteint les feux, mes spectateurs étan t aux mots absents. je te fais un grand salut d'artiste. elisabeth.
Rédigé par : elisabetha | 28/09/2005 à 21:38
salut bob. voilà un commentaire qui n'en est pas. je suis simplement contente de voir ton nom réapparaitre, comme j'ai un faible pour le sommet des vagues. aujourd'hui j'ai éteint les feux, mes spectateurs étan t aux mots absents. je te fais un grand salut d'artiste. elisabeth.
Rédigé par : elisabetha | 28/09/2005 à 21:45
Eh ben, 3 commentaires pour un commentaire qui n'en est pas un, bravo Elisabetha.
Rédigé par : BOB L'INQUIET | 28/09/2005 à 22:31
Effectivement, j'étais à Paris ce week end là. Assez désarmante cette démonstration de force. J'aime pas les armes et ne reconnaît aucun prestige à l'uniforme. La répression ne fait que s'accentuer aussi bien à Paris qu'à Nantes. Plus de dialogue. Les menottes sortent immédiatement. Ca s'est pour le civil, mais la démarche me semble la même en ce qui concerne l'armée. Négocier, pour quoi faire ?
Rédigé par : chrysalide | 09/10/2005 à 12:32